Une Vie – test de
lecture :
Chapitre 1:
Texte à
trous à remplir avec le
texte sous les yeux le texte.
Jeanne sort du
. Elle craint que son père ne veuille pas
sortir si
. L'histoire se passe en
. On le sait grâce
au
que Jeanne met dans son sac. Le père de Jeanne est
le baron
. Il est (un défaut)
et (une qualité).
Il aime la nature:
, ,
.
Il veut que sa fille soit
, ,
et .
Elle a les cheveux et les yeux
. Les cheveux de son père sont
et . Alors qu'elle vit en ville, elle rêve de
voit
. Elle va passer l'été dans un
qu'elle habitera lorsqu'elle sera . La
servante a (age) et s'appelle
.
C'est la sœur de
de Jeanne. La mère de Jeanne a un physique
car elle souffre d'une
du cœur. Jeanne, sa mère et son père, vivent dans un vieil
. Le prénom
de la mère de Jeanne est . La
cuisinière s'appelle
. Le cocher
s'appelle le père .
Le père de Jeanne a vendu
pour pouvoir faire réparer
, là où ils vont vivre
désormais. Leurs parents leur avaient laissé fermes, il
leur en reste . Ils ont encore
livres de rente, ce qui est bien assez pour vivre, mais ils perdent
beaucoup d'argent à cause de leur .
Le
est en pierres devenues
. Jeanne retrouve une chaise qu'elle avait étant
enfant qui représente et
. Dans l'appartement de Jeanne,
des peuplent ce lieu de
singuliers. Au coin de son lit, il
y a quatre de
. Sur la dernière tenture, le jeune
est mort. Une femme se perce le de son
. Sur la
cheminée se trouve une de l'Empire,
ce qui permet au lecteur de savoir l'heure : il est
heures. La longue chemise de Jeanne lui donne l’aspect
d'un .
Synthèse :
Comment vous paraît Jeanne dans cet extrait ? Entourez les mots
qui correspondent : (si vous ne connaissez pas les termes,
regardez dans le dictionnaire)
Idiote –
naïve – heureuse – méchante – colérique – triste –
romantique – étourdie – fainéante – frivole – mélancolique
– énergique – masculine – oisive – impertinente – sérieuse
– agressive – sale – bien élevée – mal élevée –
gracieuse – grosse – désordonnée – rêveuse – égocentrique
– amoureuse.
Résumez ce
premier chapitre en quelques lignes.
Chapitre 2 :
Questionnaire :
A quoi Jeanne passe t elle ses journées avant de rentrer au
château ? Donnez 3 activités.
-
-
-
A quoi le père passe t il ses journées ? Donnez 3 activités.
-
-
-
Donnez 3 activités de la mère :
-
-
-
Lorsque la mère de Jeanne était jeune, elle était fort
et plus mince qu'un
. Lorsqu'il pleut, elle lit ses anciennes
, de son père, de sa mère, et du baron lorsqu'elle était encore
. Un jour, alors que Jeanne et sa
mère était assise sur un banc, elles aperçurent un gros
qui s'en venait vers elles : c'était le curé
du .
La mère de Jeanne (choisir:) aime/n'aime pas l'église mais
aime/n'aime pas les prêtres. Le curé s'appelle l'abbé
.
Description
de l'abbé :
Il était fort , fort
et à flots.
Donnez
cinq autres éléments de la description de l'abbé :
-
-
-
-
-
L'abbé veut présenter au père de Jeanne le fils de
qui est l'an dernier.
Recopiez
la description du jeune homme donnée par l'abbé (discours direct) :
Que répond
le père de Jeanne ? Mettez sa réponse au discours indirect :
Le père de Jeanne dit qu'il faut...
Une Vie – test de lecture
:
Chapitre 3:
Grâce à
qui Jeanne et sa mère décident-elles de se rendre à la messe ?
Ont-elles
l'habitude de s'y rendre ?
Le curé
sort de l'église avec un jeune homme au bras. Qui est ce jeune homme
?
Faîtes le
portrait du jeune homme:
D'après
la description dans les lignes suivantes: (entourez les bonnes
réponses:
Le jeune homme est:
laid – beau – attirant – repoussant – sans intérêt –
intéressant – charmeur – méprisant – joyeux – triste
Combien de
temps se passe entre la première conversation avec le jeune homme
devant l'église, et sa première visite à Jeanne ?
Suite à
la longue conversation sur les divers habitants nobles et bourgeois
du pays, à qui s'adresse le dernier regard du jeune homme ?
Texte à
trous:
La baronne trouve le jeune homme
et surtout très
. Le père de Jeanne le trouve très bien
. On l'invita à dîner
. Il vint alors .
Entourez
la bonne réponse:
Il parle à Jeanne: Souvent – doucement – mal – jamais – tous
les jours.
Texte à
trous: Retrouvez dans le texte les mots du champ lexical du bateau:
Deux
autres aidèrent au départ. Les hommes,
appuyant leurs épaules aux
, poussaient de toute leur force. On avançait avec peine sur la
plate-forme de . Lastique glissait sous la
des rouleaux de bois graissés, puis, reprenant
sa place, modulait d'une voix tonnante son interminable " Ohée
hop ! " qui devait régler l'effort commun. Mais, lorsqu'on
parvint à la pente, le _______________tout d'un coup partit,
dévala sur les cailloux ronds avec un grand bruit de toile déchirée.
Il s'arrêta net à des petites ,
et tout le monde prit place sur les bancs ; puis les deux
restés à terre le mirent à ______________. Une
légère et continue, venant du ,
effleurait et ridait la de l'
. La fut ,
s'arrondit un peu, et la s'en alla
paisiblement, à peine bercée par la .
On
s'éloigna d'abord. vers l' , le ciel se
baissant se mêlait à l' .
A
votre avis, qu'est-il en train de se passer entre Jeanne et le jeune
homme sur le bateau ?
Que
fait le jeune homme pour empêcher Jeanne de se mouiller les pieds ?
Texte
à trous: Remettez dans ce passage les termes du registre
fantastique:
Ils
avançaient : " Tiens, là-bas, nous pourrons nous asseoir un
peu ", dit-elle. Deux vieux arbres étaient
et, profitant du trou fait dans la
verdure,
une averse de lumière tombait là, chauffait la terre, avait
réveillé
des
germes de gazon, de pissenlits et de lianes, fait éclore des petites
fleurs
blanches,
fines comme un brouillard, et des digitales pareilles à des fusées.
Des
papillons, des abeilles, des frelons trapus, des cousins
___________________qui ressemblaient à des
de mouches, __________ insectes volants, des à bon
Dieu roses et tachetées, des d'
aux reflets , d'autres noires avec des
, ce puits lumineux
et chaud,
creusé
dans l'ombre glacée des lourds feuillages. Ils s'assirent, la tête
à
l'abri
et les pieds dans la chaleur, ils regardaient toute cette vie
et
petite qu'un rayon fait apparaitre ; et Jeanne attendrie répétait
: " Comme
on
est bien !"
Soulignez
dans le passage ci-dessus une ENUMERATION (Figure de style: quand on
énumère de nombreux éléments qui composent, par exemple, un
paysage, ou ici, une faune (des animaux) et une flore (des plantes).
Surlignez: le champ lexical de la FLORE d'une couleur, le champ
lexical de la FAUNE d'une autre.
Où Jeanne aimerait-elle voyager ?
Où le jeune homme aimerait-il voyager ?
FIN DU CHAPITRE:
Quel est le prénom du jeune homme ?
Comment répond -t-elle ? Entourez la bonne réponse: Par lettre – Par un poème – Par un regard
Est-ce que Jeanne et le jeune homme se connaissent bien à la fin de ce chapitre ? (justifiez)
Cette fin vous parait-elle surprenante ? (justifiez)
Test de lecture – Une vie
Chapitre 4:
Qu'a
demandé le comte de Lamarre aux parents de Jeanne ?
Combien de
parents reste-t-il au comte de Lamarre ?
Quand doit
avoir lieu la cérémonie du mariage ?
Où doit
avoir lieu le voyage de noces ?
Y a t-il
beaucoup de monde invité au mariage ? Qui est invité ?
Complétez
la description de Lison:
C'était
une femme qui parlait , s'effaçait
, apparaissait aux
heures des , et remontait ensuite dans sa
où elle restait sans
____________. Elle avait un air et , bien
qu'elle fut âgée seulement de ,
un oeil et ; elle n'avait jamais
compté pour dans sa famille. Toute petite, comme elle
n'était point ni , on ne
l'embrassait guère ; et elle restait
et dans les coins. Depuis elle demeura toujours
. Jeune fille, personne ne s'occupa
d'elle. C'était quelque chose comme une ou
un objet ______________, un vivant qu'on est
accoutumé à voir chaque jour mais dont on ne s'inquiète
.
Que
s'est-il passé lors du "coup de tête" de Lison ? Quel âge
avait-elle ?
Lorsque
Jeanne et son futur mari reviennent de promenade, pourquoi la tante
Lison se met-elle à pleurer ?
Quelle
est la réaction des deux jeunes gens face aux larmes de Lison ?
Où
échangent-ils leur premier baiser ?
Complétez
cette description (champ lexical du corps) des sensations de Jeanne:
Elle
éprouvait seulement une grande de vide en tout
son , comme si sa son
, ses se fussent fondus sous la
; et elle s'apercevait, en
les objets, que ses tremblaient beaucoup.
Pourquoi
l'auteur ne parle pas de la cérémonie du mariage ? Quel est l'effet
produit ?
Après
leur promenade au bosquet, Jeanne et son mari s eretrouve face à
face. Relevez les trois questions qu'ils se posent alors
implicitement (dans leur tête):
1
-
2
-
3
-
Comment
trouvez-vous la fête du mariage ? Justifiez en montrant des exemples
tirés du texte.
"Tu
appartiens toute entière à ton mari": Que pensez-vous de cette
phrase et du discours prononcé par le père de Jeanne à sa fille le
soir de son mariage ?
A
votre avis, pour quoi la mère de Jeanne pleure-t-elle sur l'épaule
de Julien, le mari de Jeanne ?
Quelle
question vient à Jeanne lorsque sa bonne la déshabille pour la nuit
de noces ?
Quel
sentiment Jeanne éprouve-t-elle lorsque son mari se glisse dans la
chambre ?
Que
pensez-vous de cette nuit d'amour ? Développez votre réponse en
évocant les sentiments de Jeanne et de Julien : sont-ils les mêmes
?
Test de lecture – Une vie :
Chapitre 5 :
Relevez
dans dans la première page du chapitre les 5 phrases exclamatives
portant sur la Corse :
-
-
-
-
-
Complétez ce
texte en vous aidant de l’œuvre , puis entourez le registre qui
correspond au texte :
,
vers l'avant, à quelques brasses seulement, un
poisson, un dauphin,
hors de l'eau, puis y replongea la tête
la première et _______________.
Jeanne toute eut poussa un
, et se jeta sur la poitrine de Julien. Puis elle se mit à rire de
sa et regarda, , si la
n'allait pas . Au bout de quelques
secondes elle ____________de nouveau comme un gros joujou
. Puis elle retomba, ressortit encore ;
puis elles furent deux, puis trois, puis six qui semblaient gambader
autour du lourd bateau, faire escorte à leur frère
, le poisson de aux nageoires de
.
Registre
pathétique – lyrique – dramatique – épique – fantastique.
Recherchez
sur internet : De qui parle le capitaine lorsqu'il dit « lui
là-bas, à Sainte Hélène ? » (indice : c'est un
empereur français d'origine Corse qui est exilé sur l'île de
Sainte Hélène au moment où se déroule le récit) :
Entourez
les adjectifs qui correspondent au caractère de Julien :
(cherchez dans le dictionnaire les mots dont vous ne connaissez pas
la définition) :
Économe
– Dépensier – Avare – Intéressant – Amusant – Drôle –
Pudique – Obsédé – Bestial – Vulgaire
Entourez
les bonnes réponses dans le tableau ci-dessous :
1 – Jeanne
comprend les pulsions de son mari
|
OUI
|
NON
|
2 – Julien
comprend l'émotion de sa femme quand elle voit un joli paysage
|
OUI
|
NON
|
3 – Le couple
est complice, uni, Jeanne et Julien communiquent beaucoup
entre-eux
|
OUI
|
NON
|
4 – Jeanne est
plus heureuse devant un beau paysage que seule avec son mari
|
OUI
|
NON
|
5 – Lorsque
Jeanne pleure, Julien la trouve ridicule
|
OUI
|
NON
|
6 – Jeanne et
Julien s'aiment
|
OUI
|
NON
|
Que
promet d'offrir Jeanne à son ami Corse ? Pour quoi faire ?
Qui
a donné à Jeanne l'argent que Julien refuse de lui laisser ? A
quoi devait servir cet argent ? (cf fin du chapitre 4) :
Qu'achète
Jeanne avec le peu d'argent que son mari lui donne ?
Chapitre
6 :
Milieu
du chapitre : Complétez le texte :
Elle
fut réveillée au matin par une grande lueur qui teignait son lit de
; et ses carreaux, tout barbouillés de
givre, étaient comme si l'horizon entier
.
S'enveloppant
d'un grand peignoir elle courut à sa fenêtre et l'ouvrit. Une brise
, saine et piquante, s'engouffra dans sa chambre, lui
cinglant la peau d'un aigu qui fit pleurer ses yeux
; et au milieu d'un ciel , un gros soleil
et comme une figure d'
__ apparaissait derrière les arbres. La terre,
couverte de blanche, et sèche à
présent, sonnait sous les pieds des gens de ferme. En cette seule
nuit toutes les branches encore garnies des peupliers s'étaient
dépouillées ; et derrière la lande apparaissait la grande ligne
verdâtre des flots tout parsemés de traînées .
Le platane et le tilleul se dévêtaient rapidement sous les
. À chaque passage de la brise des
tourbillons de feuilles détachées par la brusque
_____________s'éparpillaient dans le comme un
envolement d'oiseaux.
Surlignez
dans le texte ci-dessus le champ lexical (le vocabulaire) du froid.
Comment
se comporte Julien dans ce chapitre ?
Après
avoir complété le texte, cherchez la définition des mots que vous
avez ajouté. Puis, dessinez dans l'écu ci-dessous votre propre
blason, celui que vous aurez inventé (vous pouvez chercher des idées
sur internet) :
On
le fit entrer dans la salle et on lui servit à manger comme s'il eût
été un monsieur car
sa spécialité, ses rapports incessants avec toute l'aristocratie du
département, sa connaissance des , des
termes consacrés, des , en avaient fait
une sorte d'homme- à qui les gentilshommes
serraient la main.
Test de lecture – Une Vie
Chapitre
7 :
Qu'arrive-t-il
à la servante, Rosalie, dans ce chapitre ?
Que veut
faire Julien de Rosalie ? Et Jeanne, que propose-t-elle ?
Quelle est
la réaction de Rosalie quand sa maîtresse vient lui rendre visite
dans sa chambre ?
Que
fait-on de l'enfant ?
A votre
avis, qui est le père de l'enfant ?
Complétez
le texte à l'aide de l’œuvre (champ lexical du corps) :
Deux
fois elle se releva pour mettre des bûches au foyer et chercher des
robes,
des jupes, des vieux vêtements qu'elle amoncelait sur sa couche.
Rien ne la pouvait réchauffer. Ses s'engourdissaient,
tandis qu'en ses __________ et jusqu'en ses des
vibrations couraient qui la faisaient se retourner sans cesse,
s'agiter s'énerver à l'excès. Bientôt ses __________claquèrent ;
ses tremblèrent ; sa se
serrait ; son lent battait de grands coups sourds
et semblait parfois s'arrêter ; et sa haletait comme
si l'air n'y pouvait plus entrer. Une effroyable angoisse saisit son
âme en même temps que l'invincible froid l'envahissait jusqu'aux
. Jamais elle n'avait éprouvé cela, elle ne s'était
sentie abandonnée ainsi par la vie, prête à exhaler son dernier
.
Qui
est couchée a côté de Julien quand Jeanne entre dans sa chambre ?
Que
veut faire Jeanne suite à cette découverte ? Y parvient-elle ?
Qui
croit Jeanne lorsqu'elle raconte ce qu'elle a vu ? Entourez la
bonne réponse :
Petite
mère – Son père – Rosalie – Tante Lizon – La veuve Dentu –
Julien
Quelle
réaction a Julien face aux accusations du père ?
Comment
réagit le père de Jeanne face à la défense de Julien ?
Qu'annonce
le médecin à Jeanne lorsqu'elle demande à voir Rosalie ?
Depuis
quand Julien et Rosalie ont-ils une liaison ? Depuis quel jour ?
Pour
le curé, à qui revient la faute de cette liaison ? Entourez la
bonne réponse.
La
faute revient à Julien – à Rosalie
Pour
le père de Jeanne, à qui revient la faute ?
La
faute revient à Julien – à Rosalie
Pour
vous, à qui revient la faute ? Justifiez.
Est-ce
que le père de Jeanne a déjà trompé sa femme ? Relevez la
phrase qui en parle : (RAPPEL : Une Phrase commence par une
majuscule et se termine par un point.)
Que
décide de donner la mère de Jeanne à Rosalie ?
Chapitre
8 :
Dans
ce chapitre, un nouveau petit personnage entre en scène...qui
est-ce ? (milieu du chapitre)
Jeanne
est-elle une bonne mère ? Justifiez.
Julien est-il content de la
décision qui a été prise au sujet de Rosalie ? Quelle est sa
réaction ? Pourquoi réagit-il ainsi ?
Complétez le texte :
Quand
ils furent un peu calmés, Jeanne s'étonna : " C'est curieux,
ça ne me fait
plus _________. Je le regarde comme un
maintenant. Je ne puis pas croire que je sois sa
. Vous voyez, je m'amuse de ses... de ses... de ses
. " Et, sans bien savoir pourquoi, ils
s'embrassèrent, encore souriants et attendris.
Combien
veut donner les parents de Jeanne à Désiré Lecoq pour qu'il épouse
Rosalie ?
Combien
veut donner Julien ?
Désiré
Lecoq accepte-t-il d'épouser Rosalie en échange (entourez la bonne
réponse) de
la somme proposée par Julien - de la somme proposée par les parents
de Jeanne
A
la toute fin du chapitre, on apprend le prénom du fils de Jeanne et
julien. Quel est-il ?
Chapitre
9 :
Faîtes
le portrait physique de la comtesse :
Faîtes
le portrait physique du comte :
En
voyant le comte, Jeanne pense : "
Comme on se trompe, chaque jour sur tout le monde. " Pourquoi
pense-t-elle cela ? Vous parlerez d'abord de l'image fausse
qu'elle avait du comte et de ce qu'il est réellement, puis de
l'image fausse qu'elle avait de Julien avant leur mariage et de ce
qu'elle a découvert sur lui après :
Chez
qui Jeanne et Julien se rendent-ils, huit jours plus tard ?
Recopiez
le portrait de la femme :
Recopiez
le portrait de l'homme :
Est-ce
que Julien aime son fils ? Justifiez en recopiant le passage qui
le montre :
Envoyant
le gant de la comtesse et les deux cravaches sur le sol, (milieu du
chapitre) qu'en conclut Jeanne au sujet de la comtesse et de Julien ?
Correction :
Une
vie charmante et libre commença pour Jeanne. Elle lisait, rêvait et
vagabondait,
toute seule, aux environs. Elle errait à pas lents le long des
routes,
l'esprit parti dans les rêves ; ou bien, elle descendait, en
gambadant,
les
petites vallées tortueuses, dont les deux croupes portaient, comme
une
chape
d'on une toison de fleurs d'ajoncs. Leur odeur forte et douce,
exaspérée
par la chaleur la grisait à la façon d'un vin parfumé ; et, au
bruit
lointain
des vagues roulant sur une plage, une houle berçait son esprit.
Une
mollesse parfois la faisait s'étendre sur l'herbe drue d'une pente ;
et
parfois,
lorsqu'elle apercevait tout à coup au détour du val, dans un
entonnoir
de gazon, un triangle de mer bleue étincelante au soleil avec une
voile
à l'horizon, il lui venait des joies désordonnées comme à
l'approche
mystérieuse
de bonheurs planant sur elle. Un amour de la solitude
l'envahissait
dans la douceur de ce frais pays, et dans le calme des horizons
arrondis,
et elle restait si longtemps assise sur le sommet des collines que
des
petits lapins sauvages passaient en bondissant à ses pieds. Elle se
mettait
souvent à courir sur la falaise, fouettée par l'air léger des
côtes,
toute
vibrante d'une jouissance exquise à se mouvoir sans fatigue comme
les
poissons dans l'eau ou les hirondelles dans l'air.
Elle
semait partout des souvenirs comme on jette des graines en terre, de
ces
souvenirs dont les racines tiennent jusqu'à la mort.
Il
lui semblait qu'elle jetait un peu de son coeur à tous les plis de
ces
vallons.
Elle se mit à prendre des bains avec passion.
Elle
nageait à perte de vue, étant forte et hardie et sans conscience du
danger.
Elle se sentait bien dans cette eau froide, limpide et bleue qui la
portait
en la balançant. Lorsqu'elle était loin du rivage, elle se mettait
sur le
dos,
les brus croisés sur sa poitrine, les yeux perdus dans l'azur
profond du
ciel
que traversait vite un vol d'hirondelle, ou la silhouette blanche
d'un
oiseau
de mer. On n'entendait plus aucun bruit que le murmure éloigné du
flot
contre le galet et une vague rumeur de la terre glissant encore sur
les
ondulations
des vagues, mais confuse, presque insaisissable. Et puis Jeannese redressait et, dans un affolement de joie, poussait des cris aigus en
battant
l'eau de ses deux mains.
Quelquefois,
quand elle s'aventurait trop loin, une barque venait la
chercher.
Elle
rentrait au château, pâle de faim, mais légère, alerte, du
sourire à la
lèvre
et du bonheur plein les yeux.
Le
baron de son côté méditait de grandes entreprises agricoles ; il
voulait
faire
des essais, organiser le progrès, expérimenter des instruments
nouveaux,
acclimater des races étrangères ; et il passait une partie de ses
journées
en conversation avec les paysans qui hochaient la tête, incrédules
à
ses tentatives.
Souvent
aussi il allait en mer avec les matelots d'Yport. Quand il eut visité
les
grottes, les fontaines et les aiguilles des environs, il voulut
pêcher
comme
un simple marin. Dans les jours de brise, lorsque la voile pleine de
vent
fait courir sur le dos des vagues la coque joufflue des barques, et
que,
par
chaque bord, traîne jusqu'au fond de la mer la grande ligne fuyante
que
poursuivent
les hordes de maquereaux, il tenait dans sa main tremblante
d'anxiété
la petite corde qu'on sent vibrer sitôt qu'un poisson pris se débat.
Il
partait au clair de lune pour lever les filets posés la veille. Il
aimait à
entendre
craquer le mât, à respirer les rafales sifflantes et fraîches de
la
nuit
; et, après avoir longtemps louvoyé pour retrouver les bouées en
se
guidant
sur une crête de roche, le toit d'un clocher et le phare de Fécamp,
il
jouissait
à demeurer immobile sous les premiers feux du soleil levant qui
faisait
reluire sur le pont du bateau le dos gluant des larges raies en
éventail
et le ventre gras des turbots.
À
chaque repas, il racontait avec enthousiasme ses promenades ; et
petite
mère
à son tour lui disait combien de fois elle avait parcouru la grande
allée
de peuples, celle de droite, contre la ferme des Couillard, l'autre
n'ayant
pas assez de soleil.
Comme
on lui avait recommandé de "prendre du mouvement ", elle
s'acharnait
à marcher. Dès que la fraîcheur de la nuit s'était dissipée,
elle
descendait
appuyée sur le brus de Rosalie, enveloppée d'une mante et de
deux
châles, et la tête étouffée d'une capeline noire que recouvrait
encore
un
tricot rouge. Alors, traînant son pied gauche, un peu plus lourd et
qui
avait
déjà tracé, dans toute la longueur du chemin, l'un à l'aller
l'autre au
retour
deux sillons poudreux où l'herbe était morte, elle recommençait
sans
fin
un interminable voyage en ligne droite depuis l'encoignure du château
jusqu'aux
premiers arbustes du bosquet. Elle avait fait placer un banc à
chaque
extrémité de cette piste - et toutes les cinq minutes elle
s'arrêtait,
disant
à la pauvre bonne patiente. qui la soutenait :
"
Asseyons-nous, ma fille, je suis un peu lasse. " Et à chaque
arrêt elle
laissait
sur un des bancs tantôt le tricot qui lui couvrait la tête, tantôt
un
châle,
et puis l'autre, puis la capeline, puis la mante ; et tout cela
faisait,
aux
deux bouts de l'allée, deux gros paquets de vêtements que Rosalie
rapportait
sur son bras libre quand on rentrait pour déjeuner.
Et
dans l'après-midi, la baronne recommençait d'une allure plus molle,
avec
des repos plus allongés, sommeillant même une heure de temps en
temps
sur une chaise longue qu'on lui roulait dehors. .
Elle
appelait cela faire " son exercice", comme elle disait "
mon
hypertrophie
".
Un
médecin consulté dix ans auparavant, parce qu'elle éprouvait des
étouffements,
avait parlé d'hypertrophie. Depuis lors ce mot, dont elle ne
comprenait
guère la signification, s'était établi dans sa tête. Elle faisait
tâter
obstinément
au baron, à Jeanne ou Rosalie son coeur que personne ne
sentait
plus, tant il était enseveli sous la bouffissure de sa poitrine ;
mais
elle
refusait avec énergie de se laisser examiner par aucun nouveau
médecin,
de peur qu'on lui découvrît d'autres maladies ; et elle parlait de
"
son
" hypertrophie à tout propos et si souvent qu'il semblait que
cette
affection
lui fût spéciale, lui appartînt comme une chose unique sur
laquelle
les autres n'avaient aucun droit.
Le
baron disait " l'hypertrophie de ma femme", et Jeanne
"
l'hypertrophie de maman ", comme ils auraient dit " la
robe, le chapeaujolie roseau
chap3 :
Grâce au curé – non – Le vicomte de LamarreIl possédait une de ces figures heureuses dont rêvent les femmes et
qui
sont désagréables à tous les hommes. Ses cheveux noirs et frisés
ombraient
son front lisse et bruni ; et deux grands sourcils réguliers comme
s'ils
eussent été artificiels rendaient profonds et tendres ses yeux
sombres
dont
le blanc semblait un peu teinté de bleu.
Ses
cils serrés et longs prêtaient à son regard cette éloquence
passionnée
qui
trouble dans les salons la belle dame hautaine et fait se retourner
la fille
en
bonnet qui porte un panier par les rues.
Le
chorale langoureux de cet oeil faisait croire à la profondeur de la
pensée
et
donnait de l'importance aux moindres paroles.
La
barbe drue, luisante et fine, cachait une mâchoire un peu trop
forte.2 jours
à Jeanne
il ne parle jamais à Jeanne
Il prit congé ; et son dernier regard fut pour Jeanne, comme s'il lui eût
adressé
un adieu particulier plus cordial et plus doux.
La
baronne le trouva charmant et surtout très comme il faut.
Petit
père répondit : " Oui, certes, c'est un garçon très bien
élevé. " On
l'invita
à dîner la semaine suivante. Il vint alors régulièrement.Ils tombent amoureux
Il la prend dans ses bras
ch 4
la main de Jeanne
aucun parent
dans 6 semaines, au 15 aout
C'était une petite femme qui parlait peu, s'effaçait toujours, apparaissait
seulement
aux heures des repas, et remontait ensuite dans sa chambre où
elle
restait enfermée sans cesse.
Elle
avait un air bon et vieillot, bien qu'elle fat âgée seulement de
quarante-deux
ans, un oeil doux et triste ; elle n'avait jamais compté pour
rien
dans sa famille. Toute petite, comme elle n'était point jolie ni
turbulente,
on ne l'embrassait guère ; et elle restait tranquille et douce dans
les
coins. Depuis elle demeura toujours sacrifiée. Jeune fille, personne
ne
s'occupa
d'elle.
C'était
quelque chose comme une ombre ou un objet familier, un meuble
vivant
qu'on est accoutumé à voir chaque jour mais dont on ne s'inquiète
jamaiElle s'est jeté à l'eau à 20 ans, on ne sait pas pourquoi (amour)
Lison pleure parce que personne ne lui avait dit des choses aussi belles que « vos petits pieds sont mouillés vous allez prendre froid ». Les 2 jeunes gens ont envie de rire.
Ch 5
Un pistolet (arme) tuer son beau-frère
Argent : la mère, pour s'acheter des petites choses de femme
ch 7
Rosalie accouche
Julien veut la chasser avec un peu d'argent, Jeanne veut élever l'enfant Rosalie pleure
Jeanne veut se suicider. On l'en empêche.
Son père la croit.
Julien se met en colère et menace d'un procès. Le père lui tend la main pour s'excuser. Julien la refuse.
Julien et Rosalie ont une liaison depuis le printemps, la première fois que Julien est entré dans la maison.
C'était vrai, parbleu, qu'il en avait fait autant, et souvent encore, toutes les
fois
qu'il avait pu ; et il n'avait pas respecté non plus le toit
conjugal ; et,
quand
elles étaient jolies, il n'avait jamais hésité devant les
servantes de sa
femme
!La mère de Jeanne donne à Rosalie une ferme et 20 000 frcs
ch 8
Jeanne croyait que le comte était un ogre, alors qu'il est adorable, et croyait que Julien était un prince charmant, alors que c'est un avare colérique et coureur de jupons.
Chez les Courteliers
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